UN président.
Les nuages et la pluie arrivent et le nouveau président s'avance vers le pupitre. Le vent se lève. Il prend la parole. Le travail, l'autorité, le mérite, l'identité nationale, le respect, la morale. La France sera toujours là où les Etats-Unis auront besoin d'elle. Au revoir la "repentance". Toujours auprès des opprimés... Et un repas au restaurant.
C'est étrange, les représentants de gauches n'arrêtent pas de se culpabiliser, certes ils ont une responsabilité mais à un moment il faudrait peut-être dire aux français qu'ils en ont une aussi. Peut-être que plutôt que de leur lécher les bottes, on devrait leur dire bien en face que se sont de gros beaufs. A voir le concert pour fêter la victoire de Nicolas Sarkozy... Le peuple a voté. Très bien, c'est la démocratie. La violence commence à sourdre... et Mireille Mathieu chante...
Ségolène Royal représentait un vrai renouveau de l'implication des citoyens dans la politique. Un dialogue, de la concertation, un angle d'attaque positif des problèmes sans misérabilisme. Elle proposait plus de douceur. Les Français préfèrent le bâton et les antagonismes, qu'on les mène à la trique. Les rapports entre la société, son "infrastructure", sa gestion, et nous vont devenir plus durs. Les cinq ans à venir m'inquiètent profondément.
Surtout, ne pas oublier les législatives. Il ne faut pas laisser les pleins pouvoirs à cette droite dure et décomplexée. Surtout pas.